Mon premier Dry January
Comment relever ce challenge en douceur ?
2° La visualisation / préparation mentale (en particulier aux moments les plus difficiles : vendredi soir, dîner entre amis, week-end à la campagne – un verre de vin complète bien le tableau) : je me prépare en me visualisant très précisément les scènes, autour de cette table, dans ce fauteuil, après cette balade et ce bain, refuser le vin, entendre ma voix le faire, me voir prendre de l’eau etc.
3° Trouver de bonnes pratiques pour se reconnecter au corps (danse, sport, breath work, sexe...) quand le mental m’emmène loin (colère, énervenement, découragement) – c’est le meilleur moyen de changer de chaîne !
4° L’association de pensées (le plus puissant selon moi). J’ai démarré l’article sur la perception française : vin = bon pour la santé/beauté, c’est tout à fait faux, et même si c’est un plaisir, le vin altère la qualité du sommeil et de la peau (même en quantité non excessive). Je suis particulièrement sensible à l’alcool et je remarque une différence après un verre de vin de soir. Je note un vrai gain d’énergie, de bonne humeur et d’éclat si je ne bois pas du tout d’alcool. J’associe mes pensées 0 alcool = super soirée, nuit et matinée. Cela m’aide à ne pas céder au verre de vin !
Le challenge '10 Days Dry' d'Atelier Nubio
Dry January : relevez le challenge du mois sans alcool
En France, on aime beaucoup accoler au vin rouge des attributs « santé » (riche en antioxydants) voire même « beauté » (riche en resveratrol, anti anti-âge). Et encore plus si le vin est bio (et français of course), chauvinisme oblige.